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NOTRE PLAN MÉDIATIQUE D'URGENCE
"ART GENS LIBRE"


Des chercheurs des inventeurs, des utopistes de génie, ils sont nombreux à proposer d'échanger et de fonctionner ensemble en dehors ou en complémentarité de la monnaie argent dont le monopole et la règlementation exclus les alternatives provoquant un nombre incalculables de victimes.
#1.
Produire un Documentaire avec une sortie cinéma pour amorcer et créer un impact médiatique national AUTOUR DU SUJET Des monnaies libres à la rescousse de la précarité en France.

#2.

Former un grand collectif de soutien pour motiver et engager un député à exercer son droit d'amendement et/ou porter un projet de loi au sénat permettant aux anciens détenus de travailler ensemble sans pour autant être accusé d'association de malfaiteurs.
#3.

Former une équipe de bénévoles pour entretenir les réseaux sociaux, SORTIR DE LA politique "D'ENFERMEMENT", et CONSTRUIRE à la place UNE véritable POLITIQUE D'INSERTION en bonne intelligence avec L'ADMINISTRATION PÉNITENTIAIRE.
#4.

Créer un festival autour DE LA LUTTE CONTRE LA  RÉCIDIVE PENALE en invitant des personnes ISSUS DU SECTEUR JUDICIAIRE, PÉNITENTIAIRE, POLITIQUE, DE LA SOCIETE CIVILE, ET D'ANCIENS DÉTENUS avec LEUR FAMILLE

Qui est Concienta:
c'est la seule association d'anciens détenus qui offrent un toit, de la nourriture, un accompagnement et un suivi 24h/24 et 7J/7 aux sortants de prison.
Quelles sont les qualités de Concienta:
Leur formule révolutionnaire parvient à réduire au quasi néant
le taux de récidive, alors que les méthodes officiels terminent avec 80 % de récidive chez
les moins de 30 ans.
Leur défit :
Malheureusement, leur formule bouscule,
elle n'est pas tolérée par l'administration pénitentiaire
qui refuse de faire savoir l'existence de ce véritable oasis
aux futurs sortants de prison.
Elle supporte mal que des anciens détenus sans diplomes obtiennent de bien meilleurs résultats qu'eux, qui plus est elle les soupçonne d'être une association de malfaiteurs plutôt qu'une association de bienfaiteurs.

L'urgence:
Alors que 3000 lits de prison supplémentaires
sont sur le point d'être voté,
et que la France, avec 75 000 détenus,
vient de battre le record de son histoire,
il est indispensable de faire évoluer
les préjugés et de changer la loi.

Notre Plan Médiatique d'urgence:
ces anciens détenus ont payé leur dette
envers la société, il faut faire connaître l'efficacité de
leur formule contre la récidive et faire évoluer les préjugés sur les anciens détenus.
Ils ne peuvent pas tous être "mis dans un même panier".

le Média solidaire s'engage :
dans la production du documentaire de long métrage
"Association de bienfaiteurs". 
Dans la création du
"Collectif Concienta"
Dans la création du
"festival des héros silencieux"
Dans une campagne de financement
"Crowdfunding HelloAsso"

Le fondateur de l'association

L'artiste solidaire qui diffuse le message

L'entreprise solidaire qui soutient le mouvement


Le teaser du film

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Jean Paul Quentin

Dans cette interview, Jean-Paul Quentin raconte son parcours dans le développement des Systèmes d'Échange Locaux (SEL) et des monnaies locales complémentaires comme le Trèfle.
Il mentionne qu'il a été un pionnier dans ce domaine, ayant développé des systèmes de comptabilité informatisée pour les SEL et proposé des systèmes informatisés pour les monnaies locales.

Il partage son expérience sur près de 28 ans dans ce domaine, depuis la fondation du SEL 24 en 1995.
Il nous raconte les innovations dans le domaine des SEL, mentionnant la mise en place des premiers inter-SEL, des dépôts-ventes en unité locale, et l'organisation de bourses. Il évoque aussi l'idée des ateliers participatifs pour réparer des objets, une idée qui préfigurait les fablabs d'aujourd'hui.
Jean-Paul Quentin mentionne également François Terris, une figure importante dans le mouvement des SEL, et discute des défis juridiques auxquels les SEL ont été confrontés, notamment une plainte en 1998 qui a conduit à un procès. Il explique que malgré une condamnation initiale d'un euros symbolique à payer ils ne sont pas tomber dans le piège d'accepter et de fait se constituer coupable. Ils ont fait appel et ont gagné, affirmant le droit fondamental aux échanges dans le cadre des SEL.
L'implication de ce témoignage est profonde, car elle met en lumière la longue histoire et l'évolution des SEL et des monnaies locales en France, ainsi que les défis juridiques et sociétaux auxquels ces initiatives ont été confrontées. Cela souligne également l'engagement continu de personnes comme Jean-Paul Quentin en faveur d'une économie solidaire et locale, et la manière dont ces systèmes peuvent contribuer à une économie plus durable et communautaire.
Le témoignage de Jean-Paul Quentin offre une perspective précieuse sur la révolution des systèmes d'échange locaux et du Jardin d'Échange Universel, et comment ces initiatives peuvent jouer un rôle dans la transformation de l'économie locale et la promotion de la durabilité.
Pour plus d'informations sur Jean-Paul Quentin et les initiatives mentionnées, les spectateurs peuvent visiter les sites web fournis dans la description de la vidéo, y compris le site de la monnaie locale le Trèfle, le site du JEU (Jardin d'Échange Universel), et l'annuaire des SEL.
Jean-Paul Quentin mentionne que des limites du SEL ont été fixées par les directions départementales du travail pour s'assurer que l'utilisation des SEL ne devienne pas professionnelle et ne dépasse pas un certain volume d'échanges, équivalent à un mi-temps en termes de Smic.
Il évoque ensuite une période importante autour des années 2000-2001, où, sous le gouvernement de Lionel Jospin, un ministère de l'Économie Sociale et Solidaire a été créé, dirigé par Guy Hascoët. Ce ministère a tenté d'établir des passerelles avec les SEL et d'examiner la nécessité d'un cadre réglementaire pour protéger les utilisateurs des SEL contre les redressements fiscaux pour paiement en nature. Cependant, ces efforts ont été interrompus par les événements du 11 septembre 2001, qui ont bloqué de nombreux projets dans le domaine de l'économie sociale et solidaire.
Jean-Paul Quentin mentionne également les défis rencontrés au sein des communautés SEL, notamment des conflits idéologiques sur la structure et la gestion des SEL. Il parle de la création d'une structure solidaire sous la loi 1901 après quatre ans de discussions houleuses.
Il aborde ensuite le sujet du Jardin d'Échange Universel (LE JEU), une initiative lancée par Daniel Fargeas en 1995-96 à Perpignan, qui visait à réfléchir philosophiquement sur l'argent et à promouvoir un système d'échange sans structure centralisée. Il mentionne que cette idée a été rapidement adoptée au Québec, bien que l'initiative originale soit française.
Il compare le JEU et les SEL, notant que le JEU promeut des relations libres sans structure, tandis que les SEL ont une structure communautaire avec un carnet répertoriant toutes les offres et demandes, et un système de paiement pour financer l'initiative.
Jean-Paul Quentin conclut en discutant de la fonction de l'argent comme moyen de partager des biens limités, et comment cette fonction est négligée ou refusée dans certains systèmes d'échange alternatifs, ce qui peut poser des défis, notamment lorsque la demande dépasse l'offre pour des produits appréciés comme les légumes bio.

 


ITW Jean Paul Quentin

Bande Annonce
Durée 1 mn

Documentaires Bande Annonce
Durée 2 mn

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